Transmission des maladies de la dengue, du Zika, etc
Il a souligné, par ailleurs, la nécessité de mobiliser tous les acteurs de la société pour diminuer la prolifération de cette espèce « responsable de la transmission des virus », à l’instar du Chikungunya, de la dengue et du Zika, ajoutant que ces virus « circulent particulièrement dans la zone du sud-est de l’Asie, et la propagation du moustique tigre à travers le monde est favorisée par les vastes échanges commerciaux et le développement du transport aérien et portuaire des personnes ».
Agents d’hygiène et l’utilisation des insecticides ne suffisent pas
Le même spécialiste a indiqué, par la même occasion, que la mobilisation des agents d’hygiène et l’utilisation des insecticides « ne suffisent pas sauf dans le cas où le citoyen est associé à cette opération de démoustication », affirmant, à ce titre, que l’utilisation récurrente des traitements insecticides pour diminuer la prolifération de cette espèce et ses piqures demeure nuisible à l’environnement et contribue à leur résistance à ces produits chimiques dont l’utilisation devient, selon lui, « inefficaces ».
S’exprimant sur la situation épidémiologique, le Pr Bitam a estimé que la prolifération de cet insecte en Algérie était toujours « au premier stade », c’est à dire qu’il ne représente aucun danger et qu’il n’y a pas encore lieu de s’alarmer, Par ailleurs, Mr BENALLAL a assuré que l’Institut Pasteur a mis tous les moyens en matière de contrôle et de formation des fonctionnaires dans ce domaine.
Lancement de vastes opérations de nettoyage
Il a rappelé, en outre, les mesures appliquées au niveau des aéroports et ports nationaux et la formation périodique des biologistes et fonctionnaires des établissements publics de santé de proximité et des bureaux d’hygiène communale (BHC).
Mme Lynda Cheballah de l’Etablissement d’hygiène urbaine d’Alger est revenue, pour sa part, sur les différentes interventions de l’établissement au niveau de la capitale notamment en ce qui concerne la pulvérisation d’insecticides dans les quartiers infestés, en sus des campagnes de sensibilisation et de prévention contre les piqures de cet insecte.
Cinq wilayas côtières concernées
Elle a insisté, dans ce sens, sur l’importance de l’hygiène et du lancement de vastes opérations de nettoyage au niveau des jardins publics, notamment en hiver pour se débarrasser des résidus qui attirent généralement les moustiques en été.
L’Institut Pasteur avait enregistré la prolifération du moustique tigre dans cinq wilayas côtières, en l’occurrence Annaba, Jijel, Tizi Ouzou, Alger et Oran, notant que les wilayas côtières et les zones humides restent les plus exposées à la prolifération de cet insecte.
Agence/ synthèse SN
Alors , dans l’article publié vous dites que lutilisation abusive des insecticides par pumverisations dans certains quartiers à risque n’est pas recommandé, ça donne des resistances à vla longue.
Qu’est ce que vous preconisez à la place?
Pour ce qui est des pastilles et les liquides parfumés contre les moustiques utilisés par led ménages sont ils efgicaces comme moyens de lutte
Le nettoiement des quartiers par l’enlèvement répétés des ordures menageres doit se faire régulièrement et peut être 2fois par jour pour éviter laccumulation qui est un terrain favorable a la proliferation de toutes sortes d’insectes et surtout ce moustique
Par quel moyen vous sensibiliser la population lpour pouvoir suivre vos conseils
Cordialement