Intervenant lors d’une visioconférence organisée par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière avec le Comité de pilotage de la vaccination et les Centres de vaccination à l’échelle nationale, Pr Loumi a précisé que les trois vaccins utilisés en Algérie, à savoir Spoutnik V (russe), AstraZenaca (anglo-suédois) et Sinopharm (chinois), sont « passés sous la loupe » et que les notifications relatives aux effets indésirables parvenant au CNPM « ne sont pas dangereuses, mais plutôt bénignes et minimes ».
Elle a ajouté que les effets indésirables de ces vaccins se manifestent par « des fièvres, des céphalées, des douleurs musculaires et des asthénies, alors que les pics hypertensifs qui sont signalés ne sont pas très élevés avec 14 pour maxima et 9 pour minima », qualifiant ces effets d' »anodins ».