Lors de son allocution, le vice-président exécutif du groupe sanofi , chargé des marchés émergents, Olivier Charmeil. A exprimé son immense satisfaction a la suite de concrétisation de ce méga projet . Les marchés émergents sont de plus en plus stratégiques pour Sanofi. Ses activités y sont en forte croissance (+10% en 2017) « C’est l’un des ratios les plus élevés pour le groupe Sanofi au monde », indique charmeil
L’Algérie a été, d’ailleurs, parmi les cinq pays qui ont accueillis les plus grands projets du groupe Sanofi ces dernières années, à coté de la Chine, la Russie, le Brésil et le Mexique, d’après M. Charmeil.
Il a expliqué le choix de l’Algérie parmi ses pays, par la présence du groupe Sanofi qui remonte à 27 ans, l’attractivité du marché algérien, les compétences des équipes, ainsi que la volonté des autorités publiques à développer l’industrie pharmaceutique.
« L’ensemble de ces critères qui fait que nous prenons cette décision qui est guidée par une vision stratégique à long terme », lance-t-il.
C’est un investissement important dans un pays qui est important pour nous », a souligné Olivier Charmeil, vice-président exécutif chargé notamment des marchés émergents.
Philippe Luscan : « le complexe va attirer d’autres partenariats »
Présent à ce grand événement. Le vice-président exécutif du groupe, chargé des affaires industrielles globales, Philippe Luscan, a expliqué que « le complexe va forcément attirer des partenariats autour de lui ».
« Nous sommes inscrit dans un écosystème et nous faisons partie d’un tissu industriel », ajoute M. Luscan affichant la disponibilité du groupe pour nouer de nouveaux partenariats avec des opérateurs locaux pour augmenter le taux d’intégration nationale.
Concernant les projets de Sanofi en Algérie, les responsables du groupe ont mis l’accent notamment sur le partenariat entre Saidal et Sanofi pasteur pour la production locale de vaccins.
« Les discussions autour de ce projet sont en cours et nous restons toujours dans une logique de développement continue en Algérie », a soutenu M. Chraiteh.
A propos du projet de fabrication de l’insuline en Algérie, le même responsable a affirmé également que les discussions étaient toujours en cours. « Notre volonté est là, elle est inscrite. Nous attendons que les choses évoluent », a-t-il ajouté.
SN